18 juin 2010

Pensées du vendredi : de l’amour et de la nature (St-Exupéry)

«Ce qui importe, ce n’est pas d’arriver, mais d’aller vers.»

«Ce n’est point être libre que de n’être pas.»

«Si tu ne donnes plus, tu n’as rien donné.»

«Il n’y a pas de fatalité extérieure. Mais il y a une fatalité intérieure : vient une minute où l’on se découvre vulnérable ; alors les fautes vous attirent comme un vertige.»

«L’homme se découvre quand il se mesure avec l’obstacle.»

«Dans la vie il n’y a pas de solutions ; il y a des forces en marche : il faut les créer et les solutions suivent.»

«Ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort.»

«Ce n’est point dans l’objet que réside le sens des choses, mais dans la démarche.»

«Quand on s’abandonne, on ne souffre pas. Quand on s’abandonne même à la tristesse, on ne souffre plus.»

«Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction.»

«L’avenir n’est jamais que du présent à mettre en ordre. Tu n’as pas à le prévoir, mais à le permettre.»

«Le plus beau métier d’homme est le métier d’unir les hommes.»

«On risque de pleurer un peu si l’on s’est laissé apprivoiser…»

«La vérité, ce n’est point ce qui se démontre, c’est ce qui simplifie.»

«Une fois pris dans l’événement, les hommes ne s’en effraient plus. Seul l’inconnu épouvante les hommes.»

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